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La Gazette des Communes, dans son numéro du 4 avril propose un dossier sur les résidences sociales avec les interviews de l'Unafo et de plusieurs adhérents.

Les personnes précaires ont de plus en plus de mal à se loger, y compris dans le parc social. Les résidences  résidences sociales contribuent à répondre à leurs besoins. Les jeunes, en formation ou sortant de l’aide sociale à l’enfance (ASE), les parents isolés, les travailleurs pauvres et les allocataires de minima sociaux sont concernés.

Les départements et les régions peuvent contribuer financièrement à la rénovation ou à la construction de résidences sociales. Le maire joue le rôle de chef d’orchestre mais la volonté politique est indispensable « On ne peut pas monter de projet sans les élus. On les coconstruit avec eux », souligne ­Arnaud de Broca, le délégué général de l’Unafo.

Aléos dans le Haut-Rhin, l’association de Gestion Nelson Mandela dans la Sarthe et Aates en Haute-Savoie ont également apporté leur témoignage sur la diversité des personnes logées :

­AATES accueille notamment des travailleurs « Nous gérons 20 résidences sociales pour 750 logements. La majorité de nos résidents sont des salariés qui ne parviennent pas à se loger sur notre territoire où les loyers sont chers. C’est l’institutrice d’école qui vient d’être mutée, c’est le jardinier employé par la mairie » précise Bruno ­Mathieu, directeur d’AATES.

« La résidence sociale Les Amaranthes compte 49 places dont 12 dédiées aux jeunes les plus en difficulté : les sortants de l’ASE et ceux qui vivent dans la rue. Ils nécessitent un accompagnement renforcé, orienté vers l’apprentissage des codes sociaux, vers la santé psychique. Un référent adulte y est présent toute la semaine ainsi que les vendredis et samedis soir. Notre objectif est de les mettre dans un parcours d’insertion socioprofessionnel » explique Loïc Richard, le directeur général d’Aléos.

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